"Fable d'Esope, tragédie ou comédie sociale du totalitarisme, Le Repentir se situerait dans cette continuité, sorte de synthèse onirique renvoyant aux ténèbres de la mort comme aux douleurs de l'enfantement des nouvelles générations." (p. 269)
"Dans un entretien, Abouladzé évoquait la dimension cathartique de son film: Le Repentir comprend non pas des plans ou des phrases, mais des séquences entières que j'ai vues en rêve... L'inconscient les a renflouées." (p.273)
Caméra politique: cinéma et stalinisme, Kristian Feigelson, Université Paris 3 IRCAV (Institut de recherche sur le cinéma et l'audiovisuel), Presses Sorbonne Nouvelle, 2005, 322 pages
ISBN 287854305X, 9782878543056
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